En entrant, on est frappé par la pénombre qui contraste avec la lumière extérieure.
Il faut suivre la marque de la lampe torche de l'ouvreuse pour arriver jusqu'à l'entrée de l'expo.
Comme au cinéma.
Elle nous abandonne dans un espace que l'on devine vaste, mais extrêmement sombre.
A peine, si l'on distingue quelques spots dans le lointain.
A mesure que les yeux s'habituent, peut commencer la danse entre des faiceaux de lumière verticaux projetés du plafond; des particules de poussières, qui moulent leurs arabesques sophistiquées sur les murs de lumières; et nous, qui jouons à longer ses murs, à les contourner, les traverser, les carresser. A mi-chemin entre passe-muraille et phalènes.
Je vous ai déjà dit que j'aimais beaucoup l'ambiance si particulière de la base sous-marine de Saint-Nazaire. En ce moment, c'est Anthony Mc Call, qui l'investit avec une exposition de ses sculptures de lumière.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire