Le soleil est déjà tombé derrière les buildings de Bucarest, mais sa lueur continue d'éclairer la ville. C'est la première fois que je peux vagabonder dans cette ville inhabituelle.
Difficile de décrire ce que je ressens dans ses grandes avenues reliées par de petites ruelles.
Entre ses grands bâtiments à moitié délabrés, à moitié modernes. Comme un mélange de Buenos Aires et du quartier anglais du Caire.
J'apprends à aimer cette ville que certains décrivent comme rescapée d'une explosion atomique.
Je découvre ses passages peuplés de cafés, où l'on fume la chicha, ses statues éparpillées dans la ville, ses piétons décontractés, ses restaurants aux ambiances méditerranéennes.
Finalement, à ma quatrième visite sur place, je commence à aimer Bucarest.
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