mardi 14 octobre 2008

Mes Super Pouvoirs et leurs effets innatendus // My Super Powers and their unexpected side-effects

Humour Noir // Dark Humor - Vienne - 13/10/08
Les lecteurs attentifs se souviendront sans doute de mon entrée d'il y a 10 jours sur les élections autrichiennes. J'y pointais un couteau de cuisine sur les deux leaders d'extrême droite locaux (Strache et Haider).
8 jours après, c'est donc avec stupeur que je constate que je peux tuer avec mes entrées de blog (voir photo ci-dessus).
Malheureusement, si l'homme n'est plus, ses idées restent, et sa disparition prématurée risque bien d'accélérer l'union des deux partis populistes en question, ce qui en ferait la deuxième plus importante formation du pays...
Grave contre-sens par rapport à mes intentions d'origine !!!

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Les hommes meurent mais les idées restent, ce n'est pas un adage très nouveau.
J'ai, pour ma part, également constaté quelques parallèles étranges entre la rédaction sur la toile et le filage des Moires.
Par deux fois, je mets un petit billet sur un artiste que j'aime bien en me demandant ce qu'il pouvait bien devenir et y répondant par la triste affirmative suivant: "vu son âge, la prochaine fois que j'en entendrai parler, ca sera pour m'annoncer sa mort". Et par deux fois, quelques jours après le post, l'annonce était officialisée. Ce fut le cas pour Raymond Devos et Paul Newman.
De là à dire qu'un petit blog peut faire office de 'Death Note', qd même pas...

Guillermo a dit…

Pas nouveau, mais vrai. De toute façon, il n'y a pas de nouveau, sur ce blog, de même que nulle part sur la blogosphère, ni toute la boule bleue... que du ressassé, du pas original. Faut arrêter de croire que l'Homme est capable de surprendre.

Pour le reste : si, si, moi j'y crois.
La Death Note, la connection astrale via l'Ethernet, et tout le tintouin. J'y crois à fond.
D'ailleurs vous Zavez pas intérêt à faire chier, ou j'vous mets un couteau sous la gorge sur mon blog, et mon double sombre va se charger de vous faire boire un peu trop pour aller vous fracasser contre un poteau en sortant d'une boite gay (comme ce cher Jörg).
Si, si, j'y crois, moi, M'sieur !