A moins qu'ils ne la génèrent eux même...
A croire que les photons aiment se frotter à eux, plus qu'à nous autres, nous, les ténébreux, les pouilleux.
A rendre jaloux ceux qui essaient de trop.
Car eux, sans faire exprès, ils y arrivent.
Jusqu'à électriser leur cheveux comme des dendrites surdouées, qui irradient de photo-transmetteurs et rendent folles nos pauvres synapses moyennes.
Même au coeur de l'orage, le soleil brille avec ces (géants/gens)-là.
Et le moindre de leurs sourires est une bouffée de vent solaire.
Démonstration...
Tatiana, comment fais-tu ?
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